Nice

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Le vieux Nice, les principaux monuments de Nice,

autour du port de Nice, le centre ville de Nice, les quartiers alentours, les musées de Nice,

Nice l’exception végétale, et bien sûr le fameux Carnaval de Nice

Informations concernant la Ville de Nice

Nice a de tout temps fait rêver. Est-ce la douceur de son climat, sa situation lovée entre collines et mer qui séduit ? Toujours est-il que la Baie des Anges porte bien son nom. Comme si l’endroit, avait un petit air de Paradis. Sans compter les stars et têtes couronnées du monde entier, qui y ont souvent séjourné. Ce qui permet aujourd’hui, de découvrir de belles villas, ou d’admirer l’architecture majestueuse des grands hôtels de la Promenade des Anglais.

Nice, la Baie des Anges
Une ville qui rime avec élégance

Si la ville est élégante, elle est tout aussi populaire, rieuse et animée. Nice saura guider celui qui aura envie d’apprendre et de découvrir. Des quartiers Sardes du port aux avenues Victoriennes de Cimiez, du panorama majestueux que l’on découvre du Mont-Boron aux ruelles pittoresques de la Vieille-ville, des sentiers pédestres qui relient les collines, aux flâneries dans les luxueuses boutiques des rues piétonnes, Nice vous dévoilera tous ses visages. Et comme son histoire remonte à la nuit des temps, autant vous dire que vous n’avez pas fini d’en apprendre…

Une ville aux multiples trésors

Des sites préhistoriques du Lazaret et de Terra Amata, aux “folies” de l’architecture de la Belle Epoque, Nice a gardé de nombreux vestiges de son passé. La vieille ville recèle un véritable trésor d’art baroque des XVIIe et XVIIIe siècles. Il faut découvrir le Palais Lascaris. Mais aussi les innombrables églises et chapelles disséminées dans les ruelles, sans hâte, à l’occasion d’agréables flâneries. Aux confins des vieux quartiers, on pourra également admirer des bâtiments intéressants, témoins de l’architecture du XIXe siècle : le Palais de la Préfecture, le Palais de Justice, l’Opéra…   

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Le vieux Nice

Le vieux Nice est un émerveillement. Pas à pas, vous pourrez y découvrir les vestiges du Moyen-Age, en regardant au-dessus de certaines boutiques les “arcs en ogive”. Ils ont été soigneusement dégagés et restaurés. En particulier dans les rues du Pont-Vieux et de la Préfecture. On notera aussi de nombreux linteaux en pierre sur les façades des maisons. L’ancien “Palais Royal” construit au début du XVIIème siècle pour loger les Gouverneurs et les Princes de Savoie lorsqu’ils séjournaient à Nice. L’Opéra actuel est sur l’emplacement de l’ancien théâtre municipal détruit par un incendie en 1881. Inauguré en 1885, c’est un exemple caractéristique du style Second-Empire.

Sur Le cours Saleya où chaque matin (sauf le lundi qui est  réservé aux brocanteurs), se tient le marché aux fruits et aux légumes. Et, toute la journée, le célèbre marché aux fleurs. A voir aussi la Chapelle de la Miséricorde, la première pierre est posée en 1740. La chapelle fut concédée à la Confrérie des Pénitents Noirs (ou de la Miséricorde). Magnifique architecture extérieure et intérieure vouée au baroque, à la couleur dorée et à la recherche de la ligne courbe.

Flânerie dans le vieux Nice

La Maison d’Adam et Eve, (Rue de la Poissonnerie – Angle Cours Saleya) est le seul témoignage qu’il reste de ces maisons peintes qui ornaient autrefois la vieille ville. Des bas-reliefs exécutés en 1584 dans des tons camaïeux ornent la façade. L’Eglise de l’Annonciation (1 Rue de la Poissonnerie) que certains connaissent plus sous le nom d’église de “Sainte Rita”. Patronne des causes désespérées, est reconstruite au XVIIème siècle et dédiée à Saint-Jacques (Saint-Giaume en niçois). Puis La Chapelle de la Sainte Trinité (Rue Jules Gilly). Si les offices religieux étaient célébrés dans la Chapelle attenante au Saint-Suaire, propriété des Pénitents Rouges, les sénateurs y avaient leurs tribunes réservées. (A noter qu’en 1614, le « Sénat » correspondait à nos Cours d’Appel d’aujourd’hui).

Les Ponchettes, située entre le cours Saleya et la mer. Cette suite de bâtiments comporte deux salles voûtées du XIXème siècle qui ont été aménagées par la Municipalité en galeries d’exposition. L’Eglise Saint Martin, (Place Saint-Augustin), l’une des trois premières paroisses de la ville. Elle abrite une émouvante « Pietà » attribuée à Louis Bréa (XVème siècle). La Place Saint François dont l’angle nord-est date du XVIème siècle, était au siècle dernier le terminus des “courrieras” (diligences). Elle reste très animée et accueille chaque matin (sauf le lundi) le marché aux poissons. L’Ancien Hôtel de Ville, (Place Saint-François) est un palais communal du XVIème siècle. Il abrite aujourd’hui la Bourse du Travail.   

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Les monuments de Nice

L’élégante place Garibaldi du XVIIème siècle. Ou encore La place Rossetti avec ses terrasses et ses glaciers, est un des endroits les plus animés de Nice. Sur cette même place vous pourrez voir la Cathédrale Sainte Réparate. Elle est du XVIIème siècle pour glorifier la jeune martyre Sainte Réparate, patronne de la ville de Nice. Le clocher est du XVIIIème siècle et l’on admirera l’élégance du portail. A l’intérieur, le maître-hôtel et la balustrade du chœur en marbre. L’Eglise du Gesù (rue Droite) St-Jacques le majeur, est édifiée par les Pères de la Compagnie de Jésus au XVIIème siècle. C’est un exemple remarquable de décoration baroque.

La Colline du Château, du château, il ne subsiste que quelques pans de mur. Mais dans ce parc fleuri, on découvrira une vue unique sur Nice et les environs. De même qu’une cascade artificielle et les vestiges de l’ancienne cathédrale datant du XIème siècle. On se perd avec plaisir dans ce labyrinthe de verdure. On appréciera, particulièrement en été, la fraicheur de ses sous bois.

La Promenade des Anglais

Et puis il y a bien évidemment la fameuse Promenade des Anglais. Ce superbe boulevard maritime toujours impeccablement fleuri qui épouse la courbe harmonieuse de la Baie des Anges. Il n’était à l’origine qu’un sentier large de deux mètres ! C’est un anglais, le Révérend Lewis Way, qui l’avait fait construire à ses frais en 1820. Il est aussitôt baptisé par la population locale “ chemin des Anglais”. Dans sa forme définitive, deux chaussées sont séparées par un terre-plein planté de palmiers, la “Prom” fut inaugurée en 1931 par le Duc de Connaught, un des fils de la Reine Victoria.

La Croix de Marbre (Rue de France) est dressée en 1568 pour célébrer la rencontre entre le Pape Paul III, Charles Quint et François 1er, lors d’un congrès. En face de cette croix, une colonne “retour d’Egypte” commémore les séjours du Pape Pie VII. La Basilique Notre-Dame, 1864-68, (Avenue J. Médecin), est la plus grande église de Nice. Mais aussi le premier édifice religieux moderne, construit au cœur de la ville nouvelle après le rattachement à la France. Les bas côtés qui flanquent la nef sont prolongés par un déambulatoire à chapelles rayonnantes. Vitraux fin XIXème par C. Champigneulle.   

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Autour du port

La Place Ile de Beauté, qui s’ouvre sur le port est un ensemble architectural de maisons néo-classiques qui entoure de part et d’autre l’église du port. Notre Dame du Port, (dite Eglise de l’Immaculée Conception) est le lieu de vénération pour tous les gens de la mer qui s’éloignent de Nice en portant la bénédiction de Notre-Dame du Port. Une statue de la vierge se trouve au-dessus du porche.   

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Le centre ville

La Place Masséna, est vraiment le cœur de la ville ! Côté nord, d’élégants immeubles sur arcades se parent du célèbre rouge pompéien. A l’est, une très belle perspective vers des collines au charme toscan. Une grande fontaine, dont les bronzes signés Alfred Janniot représentent les planètes du système solaire, est le lieu de rendez-vous privilégié de nombreux touristes. Le Jardin Albert Ier, construit en deux temps à la fin du siècle dernier grâce à la couverture du Paillon, se prolonge maintenant au-delà de la Place Masséna. C’est un vaste lieu de promenade et de détente où un kiosque à musique et un théâtre de verdure ont été aménagés. Sur la pelouse centrale s’élance une gigantesque et audacieuse sculpture, “l’Arc” de Bernard Venet.   

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Les quartiers alentours

La Cathédrale Orthodoxe Russe Saint Nicolas, (Av Nicolas II), cathédrale édifiée au début du XXe siècle sous le patronage du dernier Tzar Nicolas II et de sa mère l’Impératrice douairière Marie Feodorovna. La cathédrale est le plus bel édifice religieux de ce rite en dehors de Russie. Et la plus parfaite représentation de l’art religieux russe à l’étranger. L’Eglise et le Monastère Franciscain de Cimiez : les franciscains occupent ces bâtiments depuis le XVIème siècle. A l’intérieur, trois œuvres maîtresses de Louis Bréa, peintre primitif niçois, et un monumental retable de bois sculpté, doré à la feuille.

Dans le cloître du XVIème siècle, vous pourrez voir une exposition de gravures XVIIème siècle. Ouvert de 10h à 12h et de 15h à 18h. Mais le Monastère possède également un musée où vous pourrez découvrir une évocation de la vie des franciscains à Nice du XIIIème au XVIIIème siècle. A voir, une illustration du message spirituel et social de Saint-François d’Assise, des peintures, sculptures, gravures, manuscrits enluminés, fresques. Ainsi que chapelle et cellule anciennes reconstituées, livres d’heures sur parchemin.

De beaux panoramas à découvrir
Cours Saleya à Nice

Sur la Place du Monastère de Cimiez vous découvrirez une croix dont l’original se trouve dans l’église et qui date de 1477. Haute de 5 m 80, en marbre, elle est ornée de plusieurs figures finement sculptées dont le séraphin qui apparut à Saint-François d’Assise. Le Fort Du Mont Alban, édifié sur une colline de 222 mètres de hauteur, est un ouvrage massif du XVIème siècle avec bastions et échaugettes. Le panorama que l’on découvre est exceptionnel : depuis l’Italie (pointe de Bordighera), le Cap d’Ail, Saint-Jean Cap Ferrat, la Baie des Anges, jusqu’à la Garoupe à Antibes… On dit même que par grand beau temps, on voit la Corse !

L’Eglise Sainte Jeanne d’Arc (11 rue Grammont)est une étonnante réalisation moderne de béton peint en blanc réalisée par l’architecte Jacques Droz. Un clocher de 65 mètres constitué de flammes torsadées, trois dômes surhaussés et un porche ellipsoïdal forment un bel ensemble. Cela mérite le détour dans ce quartier de la ville où se tient chaque matin (sauf le lundi) le pittoresque marché de la Libération (Boulevard Joseph Garnier).   

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Les musées

Il ne faut pas oublier que Nice est la ville après Paris où il y a le plus de musées. Le Musée Archéologique de Nice-Cimiez fondé par Auguste en 14 avant J.C, Cemenelum fut du Ier au IVème siècle chef-lieu de la province des “Alpes-Maritimae”. On peut visiter les Arènes, l’amphithéâtre, les thermes publics (IIIème siècle après J.C.), les rues dallées et un ensemble paléochrétien (Vème siècle après J.C.).

Le Musée, inauguré en janvier 1989, expose des collections allant de l’âge des métaux (1100 avant J.C.) jusqu’au haut Moyen-Age. Céramiques, verres, monnaies, bijoux, sculptures, outils. Avec Le Musée d’Art et d’Histoire (Palais Masséna) vous vous trouverez plongés dans un fastueux décor Premier Empire. Notamment avec des collections de primitifs niçois et européens, des pièces d’armurerie du XVème au XVIIIème siècles, des porcelaines et faïences régionales. Et surtout, un département réservé aux artistes du pays niçois. Le Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain offre au public une synthèse des mouvements d’avant-garde de la création plasticienne du début des années 60 à nos jours.

Mais aussi…

Le Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky a été inauguré le 5 mars 1982 dans l’ancienne résidence du parfumeur François Coty. Ce musée doit son existence à l’importante donation d’Anatole et Renée Jakovsky. 600 toiles, dessins, gravures et sculptures, retracent l’histoire mondiale de l’Art Naïf du XVIIIème siècle à nos jours. Œuvres de Bauchant, Bombois, Rimbert, Séraphine,… peintres croates, haïtiens, brésiliens. Un riche dépôt d’état du Musée National d’Art Moderne Centre Georges Pompidou vient encore enrichir cet ensemble.

Le Musée des Beaux-Arts est l’héritier du premier musée constitué à partir des dépôts de l’Etat souhaités par Napoléon III. Il a été installé en 1928 dans une somptueuse villa construite à la fin du XIXe siècle. Les collections de peinture et sculpture recouvrent plus de cinq siècles du XVème au XXème siècle. Van Loo, Fragonard, Chéret, Dufy, les Impressionistes, Rodin, Carpeaux. Le Museum d’Histoire Naturelle Musée Barla est le premier de Nice construit en 1846, à l’initiative de J.B. Vérany. Aujourd’hui, riche d’un patrimoine culturel de près d’un million de spécimens, de Méditerranée, d’Afrique ou d’Amérique du Sud. Le muséum d’histoire naturelle a pour vocation de valoriser ces trésors du patrimoine et de sensibiliser le public à la protection de l’environnement.

A Nice Palais et musées se succèdent
Musée Matisse

Le Musée Matisse, dans une villa génoise du XVIIème entièrement rénovée, au cœur de l’oliveraie des jardins de Cimiez. Ce dernier possède la collection personnelle du peintre qui vécut à Nice de 1917 jusqu’à sa mort en 1954. Des œuvres de toutes les époques offrent un panorama très complet. Des premiers tableaux de 1890 jusqu’aux célèbres gouaches découpées, 236 dessins, 218 gravures et la présentation complète des livres illustrés par l’artiste.

Le Musée de Paléontologie Humaine de Terra Amata avec son campement de chasseurs d’éléphants datant de 400 000 ans, reconstitutions d’habitat préhistorique, moulages. Terra Amata est un musée installé sur le lieu de la découverte d’un habitat préhistorique. Le Palais Lascaris était la Résidence de la famille Lascaris-Vintimille, ce palais fut édifié à partir de 1648. Il demeura la propriété de cette famille jusqu’à la Révolution. Vendu en 1802, il subit d’importantes dégradations. Racheté par la Ville de Nice dès 1942, le palais fut classé Monument historique en 1946.  

Le palais, influencé par le style baroque génois, unit à un ensemble du XVIIe siècle, des embellissements et des modifications du XVIIIe siècle. Les bâtiments s’ordonnancent autour de deux petites cours intérieures sur lesquelles, par des baies cintrées, s’ouvre un escalier monumental. La voûte du vestibule d’entrée porte les armes des Lascaris-Vintimille. A l’étage noble, les appartements d’apparat occupent chacune des deux ailes du bâtiment. Les plafonds de cette suite de salles sont ornés de fresques à thèmes mythologique ou à ornements de stucs, de la fin du XVIIe siècle. Une apothicairerie fondée en 1738 a été installée au rez de chaussée.   

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Le carnaval
Carnaval de Nice

Le Carnaval de Nice date du XIIIème siècle. Mais c’est au XIXème siècle qu’il se structure en un véritable spectacle. Ainsi, à partir de 1873, chars de Carnaval puis chars de Batailles de Fleurs, tractés par des chevaux, séduisent les habitants, mais aussi les hivernants prestigieux : comme de tout temps, la famille impériale de Russie, la Reine d’Angleterre, les Rois de Bavière ou de Wurtember, le Prince de Galles, l’Empereur Pedro II du Brésil et leurs cours. Chaque hiver, en février-mars, se perpétue cette tradition. Ici renaît la plus grande fête de la Côte d’Azur qui attire près d’un million de spectateurs et plus de 300 journalistes. Sa renommée a franchi toutes les frontières. Il fait partie des 3 carnavals les plus connus au monde avec Venise et Rio qui s’est inspiré de son cortège de chars.   

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Nice, l’exception végétale
Carnaval sur la promenade des Anglais

Nice a su préserver son patrimoine de jardins et d’espaces verts exceptionnels sur plus de 300 hectares. Au XIXème siècle, l’aristocratie européenne découvre la Côte d’Azur. Elle s’y installe et, au sein des parcs de ses palais, y importe de nombreux arbres et plantes de pays lointains. Composant ainsi, au gré de leur fantaisie, d’étonnants paysages aux essences rares. Des palmiers, emblèmes de la Promenade bordée par ses façades historiques, aux oliviers des collines, Nice est devenue l’habitat de multiples espèces.

Elles ont traversé les continents pour renaître sur ses terres. Chacune de ces écorces est unique et révèle en elle-même un paysage qui tient de l’imaginaire. Tous les arbres ont leur vertu : symbole de paix, de puissance, de protection, de bienfait. Etres paisibles, silhouettes insolites, ils sont intimement liés à la vie avec leur sensibilité, leur langage, leur mémoire.

Nous espérons par ce texte, vous avoir fait suffisamment rêver pour vous inciter à découvrir Nice. Voire à la redécouvrir car peut être n’avez-vous pas tout vu. L’on sent à ce récit combien la ville est dynamique, combien sont histoire doit être passionnante et combien son patrimoine architectural et culturel est important.   

Nous remercions l’office de tourisme de Nice pour son aide à l’élaboration de cet article

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BON A SAVOIR
Vous avez besoin de plus d’informations sur la ville de Nice, contactez: info@itinerairesbis.com

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